Femmes en tête 2022

Le portail des sociétés savantes académiques en France

1 semaine, 10 portraits pour l’égalité dans les carrières scientifiques

Chaque année, le 8 mars, la journée internationale des droits des femmes est l’occasion de mettre le rôle des femmes dans la société à l’honneur et de réfléchir au moyen de promouvoir l’égalité entre les genres.

Pour cela, le Collège des Sociétés Savantes Académiques de France met en lumière les portraits de femmes remarquables du monde de la recherche, issues de toutes les disciplines, de tous âges et de tous niveaux de carrière, qui font la diversité et la force de la recherche actuelle.

Nous espérons que leurs parcours et leurs vies encouragerons les jeunes collégiennes ou lycéennes à s’engager vers des carrières académiques.

Cette page récapitule la sélection des « femmes en tête » 2022

Pour accéder au portrait d’une femme en tête, cliquez sur son nom

Estelle Ingrand-Varenne est chargée de recherche CNRS au Centre de recherche français à Jérusalem. Elle étudie les inscriptions médiévales que l’on trouve par exemple sur les pierres.

Charlotte Ribeyrol est maîtresse de Conférences en littérature britannique du XIXème siècle à Sorbonne Université. Elle travaille sur l’impact culturel de l’invention des premiers colorants de synthèse au XIXème siècle.

Armelle Faure est ethnologue et anthropologue. Elle a conseillé la Banque Mondiale en Afrique, Asie et Madagascar. Son travail vise à réduire les impacts négatifs des grands projets d’infrastructure (énergie, eau, transport, agriculture) et à améliorer la vie des populations locales.

Amélie Borie est neurobiologiste, maîtresse de conférences en neurosciences à l’Université Paris-Sorbonne. Elle étudie comment l’ocytocine, l’hormone de l’attachement, agit sur le cerveau pour réguler les comportements sociaux.

Anne Charmantier est écologue, directrice de recherches CNRS en écologie à Montpellier. Elle étudie notamment les mésanges pour comprendre comment les organismes s’adaptent dans les environnements naturels soumis à des changements rapides.

Laura Eme est évolutionisten chargée de Recherches CNRS à l’Université Paris-Saclay. Elle cherche à comprendre les grandes transitions évolutives de la vie sur Terre, en particulier l’origine et l’évolution de formes de vie complexes à partir de cellules simples.

Meghyn Bienvenu est informaticienne, directrice de recherche CNRS à Bordeaux. Ses travaux explorent comment donner aux ordinateurs la capacité de raisonner sur les données qu’ils contiennent.

Lia Siegelman est océanographe, chercheuse postdoctorale à San Diego aux Etats-Unis. ses recherches visent à comprendre l’impact de la dynamique des océans sur notre climat.

Valérie Caps est chimiste, chargée de recherches au CNRS à Strasbourg. Elle étudie la capacité de nanoparticules métalliques en interaction avec la lumière à favoriser des réactions chimiques.

Susanna Zimmermann est mathématicienne, maîtresse de conférences à l’Université d’Angers. Ses travaux de mathématiques pures sont dans le domaine de la géométrie et s’intéressent aux symétries.

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